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Chocolaterie Saintoin
124, rue de Bourgogne
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Chocolaterie Saintoin, Orléans
A Orléans, la Loire puis la voie ferrée assurant le transport du cacao et du sucre de canne ont permis la création de confiseries et de chocolateries.
En haut du podium, on trouve la maison Saintoin, autrefois vinaigrerie (le vinaigre était utilisé pour éviter le jaunissement du sucre et entrait dans la confection des bonbons). En 1760, Jean Saintoin ouvre une confiserie rue de Bourgogne puis en 1765, une autre rue Royale à Orléans. Dès le début du 19ème siècle, la renommée de Saintoin est faite. En 1833, une usine est ouverte au 124-128 rue de Bourgogne. Dès 1840, l'installation d'une machine à vapeur permet d'augmenter la production et de réduire les coûts.
L'entreprise sera récompensée à de nombreuses reprises pour ses produits, y compris liqueurs et alcools entrant souvent dans la fabrication des confiseries.
Au début du 20ème siècle, Saintoin rachète plusieurs firmes Orléanaises (Auvray et Henri Fillot) mais en 1901, Saintoin passe la main à Amédée Borne, alors adjoint au maire d'Orléans Harold Portalis. Puis plusieurs nouveaux propriétaires se succèderont jusqu'à la famille Tournois-Maillard qui ouvrira la chocolaterie Royale, rue Royale.