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Les industries d'Orléans

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Saintouin

122, rue de Bourgogne

les commerces d'Orléans

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Commerces à Orléans

Liqueurs & poisons d'Orléans

La Maison Saintoin, 122, rue de Bourgogne et 55, rue Royale, est fondée en 1760 par Jean Saintoin. La confiserie et la chocolaterie se développent grâce à l'acheminement, sur la Loire puis par rail, des produits exotiques (cacao et sucre de canne).


Chocolatier et confiseur, La maison Saintoin boostée par sa réussite et son savoir-faire se lance dans la commercialisation d'alcools à la fin du 19ème siècle (Curaçao, *Triple sec, Anisette, **Quinquina, crèmes et liqueurs). Le succès est au rendez-vous, de nombreuses distinctions assurent sa publicité et en 1939 l'entreprise compte plus de 130 employés.

Mais à Orléans, la marque n'est pas seule, une dizaine de distillateurs officient en divers domaines.

  • Gaston Sarton, rue du Pot de Fer (Vins, spiritueux, Triple sec, Quinquina).

  • La Maison Charles Rivière, rue de Limare (Liqueurs et sirops).

  • La distillerie Barachet, rue des Carmes (Apéritifs, digestifs, Triple sec).

  • La Maison Masseron, Faubourg Saint-Jean (Bières, limonade, eaux gazeuses).


Dès le 19ème siècle apparait l'absinthe (La fée verte) mais elle est accusée de provoquer de graves intoxications. Elle sera interdite dès 1915.


*Le triple sec est une liqueur d'écorces d'orange.
**La Quinquina est un vin apéritif aromatisé de plantes dont de l'écorce de quinquina.


La rue de Bourgogne : La rue de Bourgogne est, dès l'époque gallo-romaine, un des principaux axes est-ouest de la ville. Son nom fut nommé en raison du fait qu'elle était la principale voie vers la Bourgogne pendant le Moyen-Age. Elle devient rapidement la rue la plus commerçante de la ville, avec la présence d'une vinaigrerie et d'une chocolaterie (depuis disparus).

Petite histoire des gens d'Orléans
Ca s'est passé à Orléans
Grande Histoire d'Orléans
Histoire des rue d'Orléans
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