A l’étage, une minuscule mezzanine de métal, point de vue panoramique de la discothèque. Pendant une petite dizaine d’années, la boîte connaîtra un beau succès, avant de passer de mains en mains pour finalement définitivement fermer. Michel se lancera dans de nouvelles aventures en ouvrant l’immense bar « Le Miami », tout décoré d’immenses aquariums, boulevard Jean Jaurès. Michel est désormais au paradis des bons vivants… à la tienne mon ami.

La rue de l'Empereur : C'est l'une des plus vieille rues de la ville. Incluse dans la première enceinte, elle conduisait aux remparts des bords de Loire. Une porte avait été pratiquée à l'extrémité sud de la rue, la "Porte du Soleil". La porte permettait aux habitants d'accéder à la Loire. La porte sera détruite en 1769 lors de l'aménagement des quais après la construction du pont Royal. La rue sera entièrement renommée rue de l'Empereur en 1852.

Les historiens locaux se perdent en conjonctures quant à l'origine de son nom. L'hypothèse un moment évoqué du passage de Charles Quint ou de Charles le Chauve en cette rue semble abandonnée.

Deux maisons remarquables (15ème et 16ème siècle) et classées aux monuments historiques sont présentes dans cette rue :

• 37, rue de l'Empereur : Il ne subsiste que le rez-de-chaussée de cette façade, composé d'une porte charretière encadrée par deux petites portes. Le décor est à mouluration (ensemble de moulures) d'accolades avec sculptures de têtes de monstres. C'est une construction en bois d'époque Louis XII.

• 3, rue de l'Empereur : Le rez-de-chaussée a été modifié pour répondre à des besoins industriels. Les étages supérieurs sont percés de fenêtres qui ont perdu leurs meneaux. Des bandeaux sculptés servent d'appui aux fenêtres.