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Rue de Coulmier : Autrefois chemin parcourant les vignes, la rue de Coulmier sera percée lors de la construction du quartier en 1876/1878. Un vaste parc aux fourrages militaire occupait alors une bonne partie de la rue. La rue de près d'un kilomètre coupe la place Dunois créée à la même époque. Son nom est un hommage de la municipalité à la bataille de Coulmier, remportée par les Français le 20 décembre 1870 face à l'armée Allemande.
Pont Royal : 1878, Le pont Royal porte pour la première fois des rails sur lesquels circulent les voitures du tram, mais aucun fil électrique ne parcourt encore l’ouvrage, car le matériel roulant est constitué de voitures hippomobiles, c’est-à-dire des wagons tirés par des chevaux. La ligne sera électrifiée en 1899 mais, l’exploitation cesse définitivement le 31 mars 1938 au profit de l’autobus.
Place Dunois : Autrefois théâtre champêtre avec ses vignes et jardins, la place Dunois, jadis « Clos dit des Douze-Pierres » est désormais le cœur de son quartier, et ce, depuis 1878. La présence toute proche de nombreuses casernes au début du 19ème siècle et l'arrivée du chemin de fer à Orléans accéléra son développement. Cinq rues la rejoignent, dont la longue rue de Coulmiers qui la traverse.
Notre Dame-du-Chemin (Rue de Solférino) : 1878 - Démolition de l'église.
Casque d'Or : Amélie Élie est née à Orléans le 14 mars 1878 à l’Hôtel-dieu d’Orléans, rue Porte-Madeleine. Ses parents, de petite condition (Père, ferblantier et mère sans profession), résidaient 19, rue des Hôtelleries à Orléans. Dès 1880, ils partent s’installer à Paris dans le Xᵉ arrondissement. A 13 ans, Amélie fera sa première fugue et se mettra en ménage pour finalement se prostituer à 14 ans. Dès 1902, elle sera au cœur de la guerre des gangs et deviendra célèbre. Les rixes sont nombreuses entre les chefs de bandes Manda et Leca pour s'accaparer la belle.
L'école normale d'instituteurs : Une ordonnance du 21 avril 1828 institue une classe normale dans chaque département pour former instituteurs ou institutrices. De telles classes sont immédiatement créées à Orléans. L'école Normale d'Orléans sera au 72, rue du faubourg Bourgogne. Sitôt construite (en replacement de la vieille école du faubourg Saint-Jean), elle ouvre ses portes aux élèves en 1878 et conservera son titre jusqu'en 1990 avant de devenir l'Institut Universitaire de Formation des Maîtres.
Charles Sanglier, maire d'Orléans. Durée du mandat : 1878 - 1887. Charles Sanglier, né en 1822 est mort en 1887 d'une angine de poitrine. La municipalité lui offrira des obsèques à la Cathédrale Sainte-Croix. Charles Sanglier était commerçant et tenait une bonneterie au 47 de la rue Royale. Il sera décoré de la légion d'Honneur en 1881 et la ville renommera une rue en son nom pour l'édification des nouvelles Halles du Quartier Châtelet.
La distillerie Barachet : Créée en 1878, la distillerie Barachet était installée au 30-32, rue des Carmes à Orléans. Monsieur Barachet fabrique, distille et commercialise une douzaine de produits dont le plus célèbre était l'apéritif Saint-Ay à base de quinquina. Une petite armée de représentants de commerce sillonnaient toute la région pour vendre ses produits dont la réputation atteignait les départements d'outre-mer et même l'Amérique ! Lire la suite.
Préteux-Bourgeois, fabrique de bouchons : La maison Loiseuleur installe sa fabrique de bouchons à Orléans en 1878. Au début du 20ème siècle, l'activité est reprise par Préteux & Bourgeois au 23bis, rue des Carmes à Orléans. L'enseigne existera jusqu'à la fin des années 1950. On y vend des bouchons et tous les articles de cave et de chais.