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Rues disparues d'Orléans
Les rues - Ch'tites rues - Boulevards - Ponts & Quais - Places - Jardins - Statues - Eglises - Bâtiments - Maisons - Casernes - Cimetières - Loire - Enceintes
Rue de l'Huis de fer
Autres(s) nom(s) (Toutes sources)
Rue de la Charbonnerie - Rue du Marché-aux-Balais - Rue des Lacs d'Amour - Rue Gâte-Bois. Rue du Poirier.
Situation :
1ère enceinte
La rue tirait son nom d'une maison dont les huisseries et linteaux en fer forgé étaient d'une grande finesse. Ce chef d'oeuvre avait été réalisé par un habitant la rue. Menuisier de profession, acculé à la faillite, notre brave homme passait ses nuits dans sa cave pour se fabriquer le plus beau des cercueils. Intriguée par ses travaux nocturnes, la population fit courir la rumeur que l'homme était alchimiste et donc riche. Cette notoriété inattendue relança son commerce. Enfin aisé, il acheta la maison et fit fabriquer la plus belle et la plus solide des portes pour cacher un trésor inexistant.
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A l'ouest de la vieille ville d'Orléans, et qui lui collait, existait le bourg d'Avenum (ou Dunois). Les Orléanais obtinrent la réunion des deux lieux. Cette unification se fit vers l'an 1300. La construction (1300 - 1330) de la 2ème enceinte (1ère accrue) englobera le bourg d'Avenum à Orléans. (cliquer sur l'image ->)
La rue tirait son nom d'une maison dont les huisseries et linteaux en fer forgé étaient d'une grande finesse. Ce chef d'oeuvre avait été réalisé par un habitant la rue. Menuisier de profession, acculé à la faillite, notre brave homme passait ses nuits dans sa cave pour se fabriquer le plus beau des cercueils. Intriguée par ses travaux nocturnes, la population fit courir la rumeur que l'homme était alchimiste et donc riche. Cette notoriété inattendue relança son commerce. Enfin aisé, il acheta la maison et fit fabriquer la plus belle et la plus solide des portes pour cacher un trésor inexistant.
La rue tirait son nom d'une maison dont les huisseries et linteaux en fer forgé étaient d'une grande finesse. Ce chef d'oeuvre avait été réalisé par un habitant la rue. Menuisier de profession, acculé à la faillite, notre brave homme passait ses nuits dans sa cave pour se fabriquer le plus beau des cercueils. Intriguée par ses travaux nocturnes, la population fit courir la rumeur que l'homme était alchimiste et donc riche. Cette notoriété inattendue relança son commerce. Enfin aisé, il acheta la maison et fit fabriquer la plus belle et la plus solide des portes pour cacher un trésor inexistant.