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Commerces d'autrefois.

Blason de la ville d'Orléans
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Quincaillerie Henri Dayen

les commerces d'Orléans

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13, boulevard Rocheplatte à Orléans

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Quincaillerie Henri Dayen, Orléans

Commerces à Orléans

Vers 1920, Henri Dayen ouvre sa quincaillerie au 13, boulevard Rocheplatte à Orléans.Spécialisée dans l'outillage, on y trouve du matériel pour les entrepreneurs : Charpente, couverture, plâtrerie, maçonnerie, éviers et faïences.

Le boulevard Rocheplatte : Autrefois nommé Boulevard du Duc d'Angoulême et Petit Mail, il prendra son nom définitif en 1889. Le boulevard suit le tracé de la 4ème enceinte de la ville. Les jardins façon square et encore en place seront aménagés en 1888.

Le boulevard sera ainsi nommé en hommage à de M. Florizel de Drouin, Comte de Rocheplatte, maire d'Orléans de 1816 à 1830. Les travaux de nivellement du boulevard seront fait sous sa mandature avec la démolition des remparts de la 4ème enceinte entre 1816 et 1817.


Sur le boulevard se tenait la foire de juin (qui sera ensuite déplacée sur le boulevard Alexandre Martin). De 1886 à 1899, un cirque en bois accueille des compagnies itinérantes pendant la fête foraine d'Orléans se déroulant en juin. Pour éviter les démontage et remontage annuels, une structure, de 36 mètres de diamètre et 2 500 places, plus durable (ossature métallique, couverture en zinc, briques), est installée sur le boulevard Rocheplatte à partir de 1899. En 1911, le cirque est profondément remanié selon les plans de l'architecte Achille Mothiron et devient le théâtre de l'Alhambra. Le bâtiment est transformé en une grande salle de cinéma baptisée Le Royal en 1933. Le cinéma sera entièrement reconstruit en 1974 pour définitivement disparaître quelques années plus tard.

Il y avait aussi la manutention militaire. Initialement couvent (1715), puis prison pour religieux (1793), puis hospice, c'est en 1832 que l'armée s'empare des lieux. D'importants travaux de rénovation et d'agrandissement sont réalisés. Après la deuxième guerre, la manutention devient les subsistances militaires. Elle deviendra ensuite le Frac (Fonds régional d'art contemporain) avec son bâtiment avant-gardiste les Turbulences.

Galerie Commerciale
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