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Commerces d'autrefois.

Blason de la ville d'Orléans
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Bert - A Saint-Joseph

les commerces d'Orléans

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12, Quai Barentin à Orléans

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Bert - A Saint-Joseph, tenturerie, Orléans

Commerces à Orléans

C'est au 12, Quai Barentin, vers 1905, que la teinturerie Bert " A Saint-Jospeh" installera son usine à vapeur pour le nettoyage. Les deux boutiques du centre-ville assurent alors la réception des clients au 79, rue Royale et 2, rue Péreira. L'entreprise est prospère et possède même deux autres boutiques à Beaugency et Meung-sur-Loire. 


Comme à l'accoutumée, la pose pour la carte postale se fait avec toute la famille, femme et enfants, tandis que le patriarche, endimanché, exhibe sa carriole toute rutilante devant sa devanture.


Le Quai Barentin : Le quai sera créé durant la seconde moitié du 19ème siècle sur l'emplacement des anciennes murailles de la 4ème enceinte de la ville. Charles-Amable-Honoré Barentin était intendant de la généralité d'Orléans depuis 1760. Il organisera la démolition des murailles et la réalisation du quai qui porte son nom.

A l'extrémité Ouest du quai, se trouvait la porte Barentin qui ne sera détruite qu'en 1830.  A cet endroit, sous l'impulsion de Louis XIII, s'installe le jardin des Apothicaires vers 1640 (qui sera ensuite déplacé en lieu et place du jardin des Plantes). En 1834, le jardin laisse sa place à un entrepôt de douanes (lié au développement de la marine fluviale) et deviendra encore plus tard Le Crédit Municipal d'Orléans ou Mont de piété, rendu célèbre par l'affaire Stavisky. A cet endroit se trouve aujourd'hui l'hôtel Mercure. Sur le quai s'élève également la célèbre et belle maison Morlon inscrite aux monuments historiques depuis 1994.

Galerie Commerciale
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