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Avenue Roger Secrétain : Sur cette voie se trouvait le triste et célèbre Autopont construit en 1972 à la jonction de l'avenue de Saint-Mesmin. Ouvrage provisoire, il sera en place jusqu'en 1996. Surnommé le toboggan, cette passerelle qui tournait et aux joints indélicats était terriblement accidentogène et tous les vieux Orléanais se souviennent de quelques frayeurs en particulier par temps de verglas.
Bas-relief de Jeanne d'Arc : Jeanne d’Arc en prière, bas-relief en terre cuite émaillée, de Jeanne Champillou. Réalisé en 1972, le bas-relief est scellé sans fond sur la façade orientale de la Chapelle Notre-Dame des Miracles.
L'aérodrome des Groues : En 1972, après diverses mutations (entre aéromodélisme et présence de l'armée Américaine), l'activité aéronautique cessera définitivement au profit de l'aérodrome de Saint-Denis-de-l’hôtel.
1972, l'affaire Thalmayer : Ils sont Allemands et braqueurs de banques, Rudolph Thalmayer et son complice Robert Herzenberger écument la France en quête d’agences bancaires à dépouiller. En décembre 1970, le Crédit Agricole de Soisson et la Caisse mutuelle de dépôts de Dieulouard auront affaire aux deux malfrats qui ensuite filent vers le Loiret. Au 209, faubourg Bourgogne, à Saint-Jean-de-Braye, Herzenberger braque le personnel de son pistolet tandis que son complice s’empare de 22000 francs avant d’enfermer le directeur dans la salle des archives. Puis les deux hommes cessent définitivement leur collaboration et Thalmayer, en solo, continuera sa carrière de braqueur. Lire la suite.
Les Carmélites. Les Carmélites arrivent à Orléans en 1617 et logent provisoirement près de l'église Saint-Pierre-Ensentelée (Saint-Pierre-du-Martroi). Elles achètent aux Jacobins un terrain situé au nord de leur couvent (actuelle place Halmagrand) et y construisent leur monastère (entrée : rue des Anglaises, entre les n° 10 et 10 bis). Elles s'y installent en 1622 et en 1658 y érigent une chapelle qui n'est achevée qu'en 1685. Avec la Révolution elles quittent leur couvent en 1792. Devenu bien national, celui-ci est vendu et l'église devient fabrique de pipes, manège, puis local de la loge maçonnique de l'Union parfaite. Le couvent, joint à celui des Jacobins, est transformé en caserne (caserne Duportail) jusqu'au 20ème siècle. L'église n'existait plus en 1831. Les Carmélites achètent en 1805 le couvent des petits Carmes (7, rue du Puits-de-Linières). Leur chapelle, dont la première pierre est posée le 19 mai 1828 est consacrée le 29 mai 1830. En 1939, le Carmel quitte Orléans. L'ancien couvent d'Orléans, après avoir accueilli, en 1940, des familles sinistrées, est démoli en 1972-1973, pour faire place au Foyer Isabelle-Romée.
1972 - Construction de l'usine Christian Dior (Saint-Jean-de-Braye).