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Blason de la ville d'Orléans

Histoire d'Orléans, pas à pas

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A Orléans, Cette année là :

1944

  • 1944 - Bombardements alliés : La Libération d'Orléans par l'Armée américaine est précédée de plusieurs bombardements qui provoqueront d’importants dégâts et feront également de nombreuses victimes civiles. Lire la suite.


  • L'église Saint-Marceau : En août 1944, les bombardements Américains touchent le clocher et aa magnifique statue de Jeanne d'Arc. L'église perdra définitivement toute sa hauteur.


  • Eugène Turbat : Il est né en 1865 à Ardon (Loiret) et décédé en 1944 à Orléans. Eugène Tubat sera maire d'Orléans de 1929 à 1935. Eugène Turbat était horticulteur. Son père, Jules Turbat (1835-1901) est jardinier au château de Villiers d'Ardon. Après son certificat d'études, il entre en apprentissage chez le pépiniériste Jules Gouchault en 1879. Après un séjour en Angleterre pour y apprendre la langue, il est employé pendant onze ans chez un grand grainetier parisien comme voyageur de commerce. Il exerce ensuite les professions d'horticulteur et pépiniériste à partir de 1900 d'abord en association avec son beau-père. Dès 1905, l'entreprise édite un catalogue en anglais.


  • Olympia Cormier : Elle est née en 1880 à Marchenoir (Loir-et-Cher) et morte en déportation en 1945 à Ravensbrück. Elève de l’École normale d’institutrices d’Orléans (promotion 1896-1899), elle exerça les fonctions d’institutrice à Montargis et Orléans, puis les fonctions de directrice notamment à Saint-Hilaire-Saint-Mesmin, Saint-Jean-de-la-Ruelle et Orléans. Arrêtée le 8 juin 1944 par la Gestapo à Orléans et internée au Fort de Romainville, elle fut déportée au départ de la gare de l’Est à Paris vers le camp de Neue Bremm avant d’être transférée à Ravensbrück où elle décédera en 1945.


  • Le Maréchal Pétain à Orléans, 7 mai 1944 : Alors que le régime de Vichy n'est plus que l'ombre de lui-même, le Maréchal Pétain fera une courte halte à Orléans pour les fêtes de Jeanne d'Arc. Du balcon de la préfecture il prononce des paroles de remerciements et d'encouragements aux Orléanais sinistrés. De nombreux Orléanais étaient venus le saluer. Voir les images.


  • Un avion s'écrase dans le Loiret : Le 15 juin 1944, des avions de chasse allemands décollent à l'aube de Guyancourt dans les Yvelines pour une mission de surveillance. Arrivés près d’Orléans, ils croisent une formation de près de 100 bombardiers escortés par des chasseurs américains. C'est l'affrontement puis rapidement, le repli. De retour à leur base, un pilote manque à l'appel : L’adjudant-chef Alfred Gunther, âgé de 26 ans. Voici son histoire.


  • 1944 - Libération d'Orléans : Depuis le début de juillet, une atmosphère de fièvre régnait en ville. Dans leur avance foudroyante, et pour ne pas renseigner l'ennemi en déroute, les Alliés ne nous donnaient que de faibles renseignements sur les opérations. Dans la soirée du mardi 8 août, un grand espoir était né. Une bonne nouvelle s'était répandue dans Orléans comme une traînée de poudre : les Américains sont à Beaugency. Lire la suite.


  • Salon de thé Les Musardises : Maison fondée en 1944 par Messieurs Jalaja et Lauquin, puis tenue par M. Benaiche et enfin par M. Nouvelon en 1968. Le salon fermera définitivement en 2015. Jacques Desbois, dernier proriétaire depuis 1981 ne trouvera pas de successeur. C'est maintenant un magasin de vêtements qui occuppe l'emplacement.

Cette année là, en d'autres lieux :

Droit de vote des femmes. Débarquement de Normandie.

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