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1940 - Bombardements d'Orléans : e 3 septembre 1939, le Royaume-Uni et la France déclarent la guerre à l'Allemagne. En mai 1940, les troupes allemandes pénètrent sur le territoire français. Le 14 juin, les troupes allemandes entrent dans Paris. Dès le mois de mai 1940, des réfugiés des départements envahis rejoignent Orléans. Lire la suite.
Le premier jour de l'occupation à Orléans : Le dimanche 16 juin, au début de l'après-midi, les premiers détachements allemands arrivaient à Orléans par le faubourg Bourgogne. La colonne prit la Motte-Sanguin et s'engagea sur le quai du Fort-Alleaume. Un peu plus tard, un fort détachement motorisé arrivait sur le pont Bourgogne. Les chars furent rangés sur le mail, tandis que des soldats armés de mitrailleuses occupaient les carrefours. Lire la suite
Quai de Prague : Ce n'est qu'en 1940, que le quai Neuf sera renommé Quai de Prague en hommage à la Tchécoslovaquie. Le quai a beaucoup souffert pendant la guerre de 1939-45, il sera en grande partie reconstruit.
Les années d'occupation d'Orléans : Orléans n'allait pas rester longtemps sans administration. Dès le 24 juin, M. Morane, ingénieur des Ponts et Chaussées, qui se trouvait à Bordeaux, avait été nommé par le Ministre de l'Intérieur comme Préfet du Loiret. La préfecture étant occupée par les Allemands, il installa ses services dans un hôtel, voisin du quartier général, 3, rue de la Bretonnerie. Lire la suite.
Eglise Saint-Paul : L'église a été incendiée en 1940 et en partie reconstruite après 1960 en intégrant la chapelle restée debout.
Les catacombes de Saint-Paul : C'est en 1940, suite aux bombardements sur l'église, que Pierre Hamel découvre la cavité.
La passerelle Hermann Goring : En 1940, le 16 juin, entre 10 :00 et 13 :00, les ponts d’Orléans sont la cible de l’aviation Allemande. Aucune bombe ne les touche. Vers 15 :00, Les mines du génie français coupent les ponts George-V et Maréchal Joffre faisant des victimes chez les civils qui les traversent. Trente minutes plus tôt, les troupes allemandes sont entrées par le faubourg Bourgogne, là où on ne les attendait pas. Vers 16 :00, Les troupes Allemandes traversent la Loire par le pont de Vierzon et commencent à occuper Orléans. Le Maire de la ville, Claude Levy avait quitté Orléans dès le matin pour rejoindre Lamotte-Beuvron. En juillet 1940, le pont George-V avait été rétabli provisoirement par une passerelle en métal et les occupants, fiers de leur victoire, l'avaient déjà baptisé « Adolf Hitler Brücke ». Pour assurer un autre passage sur la Loire, ils avaient fait construire en amont du pont Joffre, entièrement détruit, une passerelle de bois (tout le bois du matériel de fête de la ville y fut employé), une immense pancarte la dénommait « Passerelle Hermann Goering ». Elle fut ouverte à la circulation le 23 juillet 1940. Lire la suite
Un avion sans ailes : A l'entrée du pont George V d'Orléans (Rive Sud), les Allemands avaient l'habitude, dès l'été 1940, de se faire prendre en photo devant une belle prise de guerre : Un avion Français POTEZ-63-11. Mais cet avion n'a jamais survolé le pont avant de s'écraser. Voici son histoire.
Un gratte-ciel au cœur d'Orléans : Suite aux bombardements de 1940, toute la partie Ouest de la rue Royale est détruite, y compris notre actuelle place de Gaulle. Un architecte (dont le nom reste inconnu) proposa de remplacer cet espace désormais vierge par un seul et unique gratte-ciel, en forme de Y. Un parc de verdure entourera le bâtiment qui sera dans l'axe parfait de la cathédrale, devenant ainsi son pendant. Lire la suite.
La TREC : Après l'arrêt définitif de l'exploitation de l'ancien Tramway, c'est la TREC qui en 1940 prends en charge le réseau de bus. Historiquement, la TREC desservaient les grandes communes de la région tout en offrant une palette d'excursions touristiques. La création de TAO (Transports de l'Agglomération Orléanaise) en 1977 mettra fin à l'activité de la TREC.