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Blason de la ville d'Orléans

Histoire d'Orléans, pas à pas

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A Orléans, Cette année là :

1925

  • Rue Emile Davoust : La rue est créée en 1925 sur l'emplacement d'un ancien monastère devenu par la suite la caserne Duportail dans le nouveau quartier des Champs-Elysées.


  • Rue de Vauquois : Cette rue a été percée dans l'ancienne propriété du Baron vers 1925. Son nom lui a été donné en souvenir de la bataille de la butte de Vauquois en 1915.


  • Rue de l'Argonne : La rue sera percée en 1924/1925 au milieu d'anciens vignobles du Clos Sainte-Croix et du Clos de l'Evêché. La rue sera nommée ainsi en hommage aux violents combats de l'Argonne en 1914.


  • Boulevard Jean Jaures : Le boulevard est situé sur l'emplacement des fortifications de la 4ème enceinte de la ville (entre la porte Saint-Jean et la porte Saint-Laurent).  Le boulevard sera aplani et nivelé durant la moitié du 19ème siècle. La partie Nord s'appelait : Boulevard du Moulin de l'Hôpital (et aussi boulevard Neuf et boulevard des Anges). La partie Sud s'appelait : Boulevard des Princes. La réunion de ces boulevards formera le boulevard Jean Jaurès ainsi nommé depuis 1925.


  • Monument aux morts de Saint-Marceau : En 1921, le comité de quartier de Saint-Marceau souhaite édifier un monument aux enfants de Saint-Marceau morts pour la France sur la place de Domrémy. Une souscription est lancée auprès des habitants pour le financement du projet. La municipalité propose que le monument soit érigé dans le cimetière Saint-Marceau. Mais finalement, le conseil municipal autorise la mise en œuvre du projet initial en 1924. Le monument est construit selon les plans de l’architecte Constant Coursimault, habitant du quartier et il est inauguré le 19 avril 1925. Les noms de 283 soldats morts au cours de la Grande Guerre sont gravés sur les quatre faces du monument, ainsi que le nom des lieux où se sont déroulées les batailles.


  • Saint-Benoit-du-Retour (Rue du Cloître Saint-Benoit) : 1925 - L'église est détruite. A sa démolition en 1925, l'église était alors occupée par un chiffonnier.


  • Théophile Chollet, maire d'Orléans. Durée du mandat : 1925 - 1929. Au lendemain de la guerre, Théophile Chollet prend une part active à la vie politique d’Orléans. Élu conseiller municipal en 1919, il devient maire en 1925. Conseiller général en 1924, il est élu député du Loiret en 1924 sur la liste de l’Union des Gauches. À la Chambre, il adhère au groupe radical-socialiste. Battu aux élections législatives de 1928, il demeure conseiller général et maire d’Orléans. Il meurt brutalement d’une crise cardiaque dans la nuit du 22 au 23 avril 1929, à l’âge 52 ans.


  • Albert Paul Arthur Grison : Le commandant Albert Paul Arthur Grison est né en 1854 à Orléans et mort en 1925 également à Orléans. Marbrier de métier, il sera chef du bataillon des pompiers d'Orléans à la fin du 19ème siècle et début 20ème siècle.


  • Fête des Reines de 1925 : En 1925, le comité des fêtes d'Orléans organise le 25 juin, au Jardin des Plantes, la fêtes des Reines.L'après midi, lors d'un défilé accompagné de voitures, les 10 reines paradent. Un petit spectacle de danse sera également présenté par un corps de ballet de l'opéra accompagné d'un orchestre. Lire la suite.


  • L'école Pigier : En 1850, Gervais Pigier lance la première école Pigier à Paris. L'Ecole Pigier d'Orléans ouvre ses portes en 1925, au 9, rue Jeanne d'Arc et deviendra une véritable institution, symbole de sérieux et de compétences. Elle formera au fil des ans : Secrétaires, sténographes (méthode très rapide de prises de notes) et dactylographes (l'art de la frappe du clavier sur une machine à écrire).

  • Fleuriste Au Jardin d'Hiver : R. Chevalier installe sa boutique de fleurs naturelles au 22, rue des Carmes  à Orléans vers 1925.

  • Matériel Electrique Henri Bachaud : Henri Bachaud ouvre ses ateliers et bureaux au 40, rue de Xaintrailles à Orléans vers 1925.

  • Pneus Gioux : En 1925, M. Gioux, spécialisé dans la réparation de pneus,  était installé au 10bis, rue des Grand-Champs à Orléans.

  • Toiles Saint-Frères : La société Saint-Frères installe une succursale à Orléans au 12, rue Adolphe Crespin vers 1925.  Elle commercialise toiles, fils, ficelles, cordages, bâches et tissus.

Cette année là, en d'autres lieux :

La tour Eiffel affiche une publicité lumineuse pour Citroën. Loi de finances instaurant la taxe d'apprentissage.

© Orléans Pratique & Insolite
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