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La rue Alfred Cornu sera ainsi renommée en 1924 après l'ouverture d'une voie dans la propriété du Baron en 1915.
Rue Charles Péguy : La rue est percée en 1924, et la maison de Charles Péguy sera malheureusement détruite lors de ces travaux.
Rue Gustave Vapereau : Cette rue a été percée sur l'ancien terrain de la propriété du Baron en 1924.
Rue Harold Portalis : Cette rue sera nommée rue Harold Portalis en 1924. Harold Portalis sera maire d'Orléans de 1898 à 1905. Il était le petit fils de Jean-Étienne-Marie Portalis, ministre des Cultes et célèbre pour avoir été l'un des rédacteurs du Code civil.
Rue Jules Lemaître : La rue est renommée en 1924 lors de l'installation du Parc Pasteur. Autrefois nommée rue de la Poule-aux-Quatre-Oeufs de par la présence d'un établissement à cette enseigne.
Avenue Général Duportail : Cette très modeste avenue se situe sur l'emplacement du Champ Carré, vieux cimetière du 15ème siècle utilisé lors des grandes calamités. Ce passage assurait la liaison entre le cimetière et le boulevard Alexandre Martin. C'est lors de la transformation du cimetière en Parc (Parc Pasteur) que la rue fut aménagée et nommée ainsi en 1924. Louis Lebègue Duportail (1743-1802) dont le père était maire de Pithiviers, était général d'armée et ministre de la Guerre jusqu'en 1790. Une caserne d'Orléans portait son nom, la caserne Duportail (place Halma Grand) . Après la démolition de la caserne, la municipalité se décida à lui offrir une avenue, toute proche.
Monument aux morts du cimetière : Il s'agit du véritable monument aux morts de la ville : L'ensemble érigé sur le boulevard Alexandre Martin est dédié à la Victoire. C’est en 1922 que la Ville d’Orléans lance un concours pour l’édification d’un monument à la mémoire des enfants d’Orléans morts pour la France. Il est prévu de le placer au milieu du carré militaire dans le Grand Cimetière. Le modèle est réalisé par le sculpteur Luc Maliba. L’imposant monument de près de quarante tonnes est inauguré le 2 novembre 1924.
Monument de la Victoire : Les travaux débutent en 1922 et ce pilier commémoratif en forme de colonne quadrangulaire est inaugurée le 23 novembre 1924 rue de la Gare sous la Présidence du Maréchal Joffre. Mais la sculpture entraine des polémiques : La nudité du poilu et les quatre femmes bien "dodues" font l'objet de vives critiques. L'artiste devra retoucher plusieurs fois son œuvre qui ne sera achevée qu'en 1929. Lire la suite.
L'ancien Lycée Pothier : En 1803, l'établissement devient un lycée impérial destiné aux garçons. En 1879, le lycée devient une référence avec la création de nouvelles Classes Préparatoires aux Grandes Écoles et devient une pépinière de grands hommes. En 1924, le lycée sera renommé Lycée Pothier en hommage à Robert-Joseph Pothier, juriste orléanais du 18ème siècle.
Marie-Élisabeth Cons : Elle est née en 1924 à Orléans et morte en 2021 à Blois. Née à Orléans le 10 juin 1924, dans une famille bourgeoise, Marie-Élisabeth Cons est la fille aînée d’un père premier clerc de notaire et d’une mère au foyer, catholique très pratiquante. Elle sera avocate. Radiée de l'Ordre des avocats pour escroquerie et mère de la jockey Darie Boutboul, elle a été condamnée le 24 mars 1994 pour avoir commandité le meurtre de son gendre, l'avocat Jacques Perrot, en 1985.
Foire Expo de 1924 : La foire qui se tient boulevard Alexandre Martin, boulevard de Verdun et au Campo Santo est inaugurée le 6 juin 1924 par le préfet et le conseil municipal. Un concours agricole sera organisé en la présence du ministre de l'Agriculture. La chambre de commerce mettra l'accent sur les "chefs-d'œuvre" des apprentis et compagnons afin de susciter des vocations. La foire sera un succès. Pour la première fois, le téléphone sera installé sur la foire avec deux cabines destinées au public. Une poste sera même mise en place par les P.T.T.
Les Ursulines. A la demande de Mgr de l' Aubespine, les Dames Ursulines de Poitiers envoyèrent à Orléans six religieuses et une sœur pour former un établissement rue de la Bretonnerie, sur l'emplacement occupé aujourd'hui par l'aile occidentale du Palais de Justice. Elles y ouvrirent bientôt un pensionnat de jeunes filles. Elles commencèrent en 1675 la construction d'un vaste monastère et d'une chapelle, le tout terminé cinq ans après. Cette nombreuse communauté fonda à son tour les couvents de Blois (1624), de Beaugency (1629), d'Issoudun (1630) et à Orléans, au sud de la Loire, celui de Saint-Charles en 1656. Avec la Révolution, elles furent expulsées de leur couvent en 1792. Celui-ci devint désormais la Prison d'Orléans qui subsista jusqu'en 1896, date de son transfert rue Emile-Zola. Quant aux Ursulines, réfugiées dès juillet 1792 à Orléans et dans sa banlieue, elles s'installèrent en 1810 au n° 1 du cloître Saint-Aignan (qui allait devenir le grand séminaire en 1909 puis les services de l'évêché en 1980) où elles ouvrirent un pensionnat. Exilées en 1906, elles allèrent alors habiter au 11, de la rue Saint-Euverte (ancien" Petit Saint-Loup) et en 1924 se fixèrent au n° 1 de la rue Pasteur, dans les anciennes dépendances des Chartreux. Mais les bombardements de mai 1944 ayant anéanti cette maison, elles durent quitter définitivement Orléans où elles avaient résidé plus de trois siècles.
Epicerie Chevalier : C'est en 1924 que M. Chevalier et son épouse installent leur épicerie à l'angle de la rue de la Hallebarde et de la rue des Carmes. L'endroit est surtout spécialisé dans les gâteaux, gaufres et autres petits fours. Suite à l'agrandissement de la Banque Populaire, l'épicerie se déplacera en 1930 au 6, rue Ducerceau, à proximité des Halles d'Orléans.
La Boisson Française : En 1924, au 2, rue de l'Ange, Orléans, on vendait la boisson française (sans alcool) a base de raisins et qui remplaçait le vin au prix de 0.10 francs le litre (0.02€). Elle soignait les maux d'estomac et donnait de la vitalité.