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Blason de la ville d'Orléans

Histoire d'Orléans, pas à pas

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A Orléans, Cette année là :

1920

  • Fête des mutilés du Loiret : Le dimanche 4 juillet 1920, malgré un temps déplorable, la fête sera un grand succès. Sur le terrain de l'île Arrault, une grande tribune officielle est dressée. Sont présents : Le Préfet, plusieurs députés, le Président des mutilés du Loiret et le sénateur Fernand Rabier. Les épreuves de natation se dérouleront Quai Saint-Laurent et les épreuves de cyclisme d'athlétisme, à l'île Arrault. Pour l'anecdote, il y aura aussi une course de lenteur et une course d'acrobaties. La journée se terminera par un défilé en centre-ville.


  • Fêtes de Jeanne d'Arc 1920. Les fêtes de Jeanne d'Arc, dans l'euphorie de la victoire, reprennent tout leur éclat. Le maire d'Orléans, Albert Laville et Fernand Rabier, iront accueillir en gare des Aubrais le 8 mai au petit matin, le maréchal Foch. Ce dernier participera aux festivités en compagnie Mgr Touchet et assistera à un grand "souper" donné le soir-même.


  • L'école de plein air d'Orléans : L'école de plein air d'Orléans est créée en 1920 par la ville. Tous les jours, du printemps à l'automne, un car emmène les élèves des écoles primaires présentant des problèmes pulmonaires aux Capucins. Ils y passent la journée à étudier, faire du sport et apprendre l'hygiène. A partir de 1923, une association (Aux plages de la Loire), prendra en charge les enfants des écoles de 5 à 14 ans pour les emmener en tramway passer la journée sur les plages de l'Ile Arrault.


  • 1920 - 5 juillet, le train Paris-Nantes déraille aux Aubrais, 6 morts.


  • Atelier Martinet : L'atelier de constructions mécaniques André Martinet s'installe au 19, rue de l'Ecole Normale vers 1920.

  • Atelier Peignin : L'atelier de constructions mécaniques Marius Peignin s'installe au 12, rue Sous-les-Saints vers 1920. Il construit des pompes, des pressoirs et des presses.

  • Bonneterie Richer : La Bonneterie Richer s'installe au 48, rue des Carmes à Orléans vers1920. On y vend aussi des chaussures.

  • Bourrellerie Chartrain : Dans les années 1920, Monsieur Chartrain s'installe au 14, Quai des Augustins à Orléans.

  • Cafés Sélecta  : C'est au 117, faubourg Bannier à Orléans que les établissements Sélecta s'installent vers 1920 à Orléans. Ici, on négocie du café et des conserves.

  • Charcuterie Jahier : La charcuterie Jahier, charcuterie de campagne spécialisée dans l'andouille, s'installe au 261, faubourg Saint-Vincent à Orléans vers 1920.

  • Charcuterie Visomblain : Au 23, place du Châtelet, la charcuterie Visomblain proposera boudins, saucisses et autres saucissons de 1920 à 1957. Sur la carte postale, toute la famille et le personnel posent devant une montagne de carcasses et les étalages de charcuteries. Puis le magasin de chaussures Bègue occupera temporairement les lieux. Aujourd'hui, l'emplacement accueille un salon de coiffure.

  • Chauffages Questiau-Leblanc : Le spécialiste du chauffage, Questiau-Leblanc, s'installe au 63, rue des Carmes  à Orléans vers 1920.

  • Constructeur Georges Roy : Georges Roy s'installe à Orléans, rue du Parc,  vers 1920. Il y fabrique des motos qui resteront célèbres comme  la Majestic. En 1927, il met au point un deux-roues révolutionnaire baptisé New Motorcycle. Malheureusement cela sera un échec commercial. Face à l’expansion du nombre de voitures à la fin des années 30, Georges Roy a l’idée de concevoir une moto à mi-chemin entre le deux-roues et l’automobile. La Majestic est née. La Majestic est entièrement recouverte d’une carrosserie en tôle venant dissimuler le châssis. En tout, ce ne sont qu’une centaine d’exemplaires qui ont été produits entre 1929 et 1933. Toutefois, la Majestic reste l’une des machines les plus intrigantes et luxueuses du paysage motocycliste français.

  • Lingerie Jumeau :  La fabrique de lingerie Jumeau s'installe dans les années 1920. On y fabrique des chemises de jour et de nuit, des camisoles, des pantalons, tabliers et jupons.

  • Maroquinerie Pernot : La maroquinerie de Monsieur Marcel Pernot était installée, dès les années 1920, au 19, rue Bannier à Orléans.

  • Maréchalerie Eugène Guillot : Eugène Guillot installe son atelier vers 1920 au 13, rue de Patay à Orléans.

  • Outillage Marius Dutouron : Marius Dutouron s'installe dans les années 1920 au 4, rue Louis Roguet à Orléans. Il commercialisait des outils pour le travail du bois et des métaux.

  • Quincaillerie Henri Dayen : Vers 1920, Henri Dayen ouvre sa quincaillerie au 13, boulevard Rocheplatte à Orléans.Spécialisée dans l'outillage, on y trouve du matériel pour les entrepreneurs : Charpente, couverture, plâtrerie, maçonnerie, éviers et faïences.

  • Tonnellerie Maurice Gallier : La tonnellerie de Maurice Gallier s'installe vers 1920 au 24, rue du Coq Saint-Marceau à Orléans.

Cette année là, en d'autres lieux :

Naissance du parti Communiste. Création de la SDN. La loi prohibe la propagande anticonceptionnelle, la vente de contraceptifs et la provocation à l'avortement.

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