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Rue Fosse de Meule : Le vrai nom de cette rue est "Fosse Demeulle", du nom du propriétaire d'une fosse située dans la rue. Cette longue rue sera renommée dans sa partie Nord en 1912 : Rue de Vaucouleur.
Fêtes de Jeanne d'Arc 1912. C'est le 500ème anniversaire de la naissance de Jeanne d'Arc. Le défilé est immense et grandiose avec bombardes, trébuchets, hommes d'armes, Couleuvriniers, Echelliers... Toute la troupe se déplace accompagnée par la musique de la Fanfare de Saint-Denis-en-Val et par l'Harmonie de la Chapelle-Saint-Mesmin. Le comité de Sain-Marceau a même mis en place un arc de triomphe pour accueillir l'armée de Jeanne. Toutes les autorités civiles et religieuses sont présentes et dès le lever du jour, 21 coups de canon sont tirés et les cloches de la ville sonneront à toute volée. Un village médiéval sera également reconstitué rue Sainte-Catherine. Pour la première fois, Jeanne d'Arc sera représentée par une jeune fille (Mademoiselle Bureau, sténodactylographe).
Place Abbé Desnoyers : La place sera aménagée en 1912. Le petit jardin qui agrémente le square sera créé en 1933. Il était orné d'une jolie petite fontaine et d'une statue : L'Enfant au Poisson. Dans le même temps, sur le mur du Musée Archéologique voisin, on expose 56 vieilles plaques de cheminées en fonte reparties sur quatre rangées. Cette exposition aura un grand succès. Après la dernière guerre, les bombardements et les incendies, la place sera totalement réaménagée.
Le Temple Protestant : C'est un édifice de plan central circulaire, couvert autrefois d'une coupole en bois et recouverte en zinc, elle s'est effondrée en 1912. Elle a été remplacée par une coupole surbaissée en ciment armé. Le presbytère et la maison du pasteur ont été bâtis progressivement entre 1839 et 1891.
L'Hôtel de la Caisse d'épargne : L'hôtel de la Caisse d'épargne d'Orléans a été élevé entre 1910 et 1912 à l'emplacement de l'ancien hôtel de Geffrier. Construit entre cour et jardin, l'immeuble est relié à la rue par deux ailes en retour d'un seul niveau couvertes en terrasse.
Maison à lucarnes (49, Rue du Faubourg Saint-Jean) : Date de construction : 1900 - 1912. Voilà une toiture bien surprenante ! Les lucarnes de cette maison, arrondies, ovales et pointues, semblent se tordre vers le ciel comme dans un conte de fées. Le travail de charpenterie est d’une étonnante complexité. Cette maison de type compagnonnique doit son originalité à la volonté de Pierre Renard, jeune charpentier de 17 ans, qui fit de cette réalisation la plus belle des vitrines de son talent.
L'Harmonie Municipale d'Orléans. Ne pouvant se passer d'une formation musicale, c'est en 1912, soit un an après la dissolution de la Musique du bataillon des Sapeurs-Pompiers, que la municipalité créée l'Harmonie d'Orléans. Composée de 50 musiciens vêtus d'un costume noir et portant chapeau melon, la troupe est menée par un chef en redingote et haut de forme. Lire la suite.
Fernand Rabier, maire d'Orléans. Durée du mandat : 1912 - 1919. Fernand Rabier exerce des mandats de conseiller municipal, maire, conseiller général, président du conseil général, député et sénateur. Il est l'un des rédacteurs de la Loi de 1905 sur la séparation de l'Église et de l'État. Ami de l'écrivain Charles Péguy, il contribue à la diffusion des Cahiers de la Quinzaine, notamment au sein des établissements d'enseignement. Un rosier grimpant du nom de Fernand Rabier lui est dédié en 1918 par son ami le rosiériste orléanais Eugène Turbat. Le 13 février 1913, Fernand Rabier fêtera ses 25 ans de députation au Campo Santo (Halles au blé) en compagnie de 1200 invités.
Fêtes de la rue de Bourgogne : Le 12, mai 1912, les habitants de la rue de Bourgogne organisent leur grande fête annuelle avec concerts, courses et défilés. Lire la suite.
Naufrage du bateau lavoir : Ce samedi 15 juin 1912, le bateau-lavoir de Monsieur Boulard sera engloutie par la Loire vers 6:00 du matin. Depuis bien longtemps, une petite entrée d'eau avait été observée et légèrement réparée. Mais la montée de la Loire et la pression exercée viendra à bout de cette petite réparation. L'eau s'engouffre dans la coque, le bateau se couche, puis disparait. Ce bateau ne sera ni le premier, ni le dernier à connaître cette triste fin.
Concours de gymnastique : Le 30 juin 1912, le concours se déroule sur deux jours à l'Ile Arrault. Le samedi soir, une retraite aux flambeaux traversera la ville. Deux magnifiques arcs de triomphe seront dressés : A l'entrée du pont Neuf (actuel pont Joffre) avec sur le fronton "Pro Patria" et le second sur le quai avec la mention "Honneur à nos invités". Le temps est pluvieux, mais aucune compétition ne sera annulée. Le public est immense, sur la levée ou dans les tribunes et 3000 gymnastes sont présents ! Le dimanche, le ministre du Commerce, Fernand David, sera l'invité d'honneur. Il assistera à la remise des médailles, au défilé et à une réception à la Préfecture.
Incendie de la fabrique de pâtes Barthélemy : Le 16 août 1912, vers 5:00 du matin, un immense incendie se déclare au 13, rue du Cheval Rouge dans l'usine de pâtes alimentaires des Frères Barthélemy. La fabrique, vieille de près de 100 ans, est vétuste et le feu embrase facilement le bâtiment. Après trois heures de combat, les pompiers armés de quatre pompes arrivent à éteindre le feu. L'usine est dévastée, le matériel détruit et 75 tonnes de pâtes sont parties en fumée.
Grand Prix de l'Aéro-Club du Centre : 8 décembre 1912, l'Aéro-Club du Centre organise un grand prix avec 1000 francs à gagner pour des vols d'hydroaéroplanes au-dessus de la Loire. La Loire est en crue à cette date et la difficulté est bien présente pour les pilotes. Le prix se déroule en aval du pont de Sologne (pont Joffre). La distance parcourue sur l'eau devra être d'au moins un kilomètre avec un retour et le tout à une hauteur supérieure à 50 mètres. L'épreuve doit être reproduite deux fois. Lire la suite.
Quand les Orléanais se font épingler. 27 décembre 1912, Orléans. Considérant que la partie acérée des épingles fixant les chapeaux féminins dépassent parfois la coiffure de plusieurs centimètres, sans être munie d'un appareil protecteur, et que des accidents se sont déjà produits de ce chef ; Considérant que le port d'épingles de coiffure à pointe nue et apparente constitue une menace et un danger pour autrui dans les endroits fréquentés par un public nombreux, notamment dans les voitures publiques, tramway et salles de spectacles, il est désormais interdit de porter des épingles de coiffure sans cache-pointe protecteur.
1912 - 17 avril, Eclipse solaire totale.