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Rue Edouard Fournier : Autrefois la rue s'appelait rue des Quatre-Degrés, car pour y accéder il y avait 4 marches en bordure de la rue de la Tour-Neuve. La rue sera renommée en 1909.
Fêtes de Jeanne d'Arc 1909. Une fête de Jeanne d'Arc toujours aussi appréciée par les Orléanais pour ce 480ème anniversaire de la libération d'Orléans par la pucelle. Mgr Touchet participera aux cérémonies, mais la situation reste tendue entre la mairie et l'église. De plus, le 29 novembre de la même année, un deuxième hommage sera rendu à Jeanne d'Arc avec l'inauguration de la chapelle de la Bienheureuse Jeanne d'Arc en l'église Saint-Paterne. Lors de la fête de 1909, l'église fera un retour en force dans les manifestations du 8 mai (avec la présence de 40 évêques). Elle sera largement majoritaire dans le défilé. Clémenceau aurait dit au député Fernand Rabier : Jeanne d'Arc a gagné le siège d'Orléans, vous, allez perdre le vôtre.
Thérèse Peltier : Elle est née à Orléans en 1873 et morte en 1926 à paris. Elle est célèbre pour avoir été, en juillet 1908, la première femme à quitter le sol à bord d'un avion puis, quelques semaines plus tard, la première femme pilote. Elle suit d'abord des études de sculpture, expose et obtient des prix. Amie de Léon Delagrange elle se passionne pour l'aviation. Elle reçoit sa première leçon de pilotage à Issy-les-Moulineaux en septembre 1908, Delagrange lui laisse les commandes et elle devient de fait la première femme pilote en 1909.
Camp de Cercottes : Depuis 1874, l’Etat Major de la 5ème armée est basé à Orléans. Le terrain de Cercottes (en hommage à cette bataille de 1870) servira de camp d’entrainement et de tir de l’école d’artillerie. En 1908, lors de son périple aérien Etampes – Orléans (Cercottes), Blériot en personne avait émis le désir de la construction d’un garage (pour aéroplanes) à Cercottes. En 1909, l’armée accorde à l’Aéro-Club l’autorisation de construire un hangar. L’objectif du club étant d’attirer un maximum d’aviateurs à Orléans. Dès le 19 juin 1909, le hangar abritera son premier aéroplane, appartenant à Messieurs Roche et Laborde, aviateurs Parisiens.
Ecole Avenue Dauphine : C'est en 1909, au 45, avenue Dauphine à Orléans, que l'école de garçons ouvre ses portes. La même année, le 20 novembre, on inaugure la salle des fêtes de l'avenue Dauphine. Cette salle est la seule qui est rattachée à une école. A l'origine, elle s'appelait la "salle des œuvres postscolaires". Pour l'inauguration de la salle des fêtes, le 20 novembre 1909, un banquet suivit d'un bal sera donné sous la présidence de Fernand Rabier, député et Courtin-Rossignol, maire d'Orléans. Actuellement, l'école s'appelle école Maxime Perrard ( 1897-1959, instituteur, militant socialiste et adjoint au maire d'Orléans)
Les Fêtes de l'Aérostation de 1909 : Le 16 mai 1909, c'est l'effervescence sur le boulevard Rocheplatte à Orléans. La foule est nombreuse pour assister à cette fête aérostatique organisée par la municipalité d'Orléans. L'après midi, six ballons s'envoleront des mails : Le Bretagne, le Rolla VII, le Salambo, le Vagabon, le Korignan et le Côte d'argent. L'envol se fait sans incidents et les ballons se dirigent vers le sud, vers la Sologne. Malheureusement, un orage éclate et les vents ramènent les ballons presque sur leur point de départ ! Certains atterrIssent dans les communes voisines. Le plus long parcours effectué sera de 60 km. A cette occasion, des photos aérienne d'Orléans seront prises.
Naissance de Jean Laquintinie. Premier médecin Compagnon de la Libération : À la déclaration de guerre, Jean Laquintinie sert dans l'armée des Alpes. En janvier 1940, il repart pour le Cameroun et est affecté comme médecin-chef à l'hôpital indigène de Douala. Ayant entendu l'appel du 18 juin, il décide de poursuivre la lutte. Dans la nuit du 26 au 27 août 1940, l’envoyé du général de Gaulle, un certain lieutenant-colonel Leclerc, arrivait en pirogue et débarquait sur le quai du Wouri à Douala. Il était immédiatement accueilli par un Comité Français Libre dans la demeure de l’un d’eux, comité composé de civils et de militaires, dont Jean Laquintinie. Il sera condamné à mort par contumace par le gouvernement de vichy. Affecté au 1er régiment de tirailleurs du Cameroun, il prend part à la campagne du Gabon jusqu'au 15 novembre 1940. Lire la suite.