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Le Comptoir National d'Escompte de Paris s'installe Passage du Loiret.
Fêtes de Jeanne d'Arc 1900. Le 7 mai au soir, la cantate "A l'étendard", créée en 1899 par l'abbé Vié (paroles) et l'abbé Laurent (musique) est chantée par les cœurs en présence du maire (Harold Portalis) et de l'évêque (Mgr Touchet). Le 8 mai, le temps est magnifique et la foule présente au rendez-vous. A 10:00, messe à la cathédrale durant laquelle le panégyrique sera prononcé par l'abbé Paul Barbier, premier aumônier du pensionnat Saint-Euverte d'Orléans. Puis suivra le défilé traditionnel.
Jules Loiseleur : Jules Loiseleur, né en 1816 à Orléans et mort en 1900 à Orléans. Il était bibliothécaire, historien et écrivain. Il exerce la profession de notaire avant de vendre son étude pour se consacrer à la littérature. Il s'engage en politique dans le camp des conservateurs et entre au conseil municipal d'Orléans en 1846. Il s'y fait remarquer en 1853 en proposant l'organisation d'une loterie pour financer l'installation de la statue équestre de Jeanne d'Arc.
Le marché aux Fleurs d'Orléans : Créé en 1825, le marché aux fleurs se tenait initialement place de l'Etape à la demande des jardiniers et fleuristes. Puis en 1900, on construit sur le mail Pothier (Au pied de la cathédrale, actuelle rue Paul Belmondo) un abri en dur pour les marchands. Un espace de 260 m² en fonte et fer forgé comme le voulait la mode de l'époque. Le marché aux fleurs s'y tiendra tous les samedis. Les abris pouvaient accueillir les marchands et en bordure de la rue Dupanloup des vendeurs de fruits et légumes prenaient également place. Au milieu de la place s'élevait la grande statue de Joseph Pothier qui sera fondue en 1942 dans le cadre de l'effort de guerre. En 1944, la structure d'accueil des fleuristes sera sévèrement touchée par les bombardements et détruite en 1958. Le marché s'installera en 1969 place de la République. Mais peu après, il est transféré à la Charpenterie, puis dans le quartier de Saint-Euverte pour finalement revenir place de la République jusqu'à sa disparition en 2004.
Brasserie Schmetz : 1900 voit la création de la société Schmetz et Fils. L'entreprise possède des locaux de production au 47, rue du faubourg Bannier à Orléans. La bière produite est consommé dans les cafés et les ménages de toute la région. L'établissement changera plusieurs fois de nom (Grande Brasserie Orléanaise, Franco-Pils, Union des brasseries) avant de définitivement fermer ses portes en 1939.
Au Grand Bon Marché : Le magasin Au Grand Bon Marché d'Orléans ouvre vers 1900 au 19, rue de la République. Il compte alors trois associés : Bugnot, Lacroix et Noël. On y vend des vêtements prêt-à-porter et du sur mesure. En 1920, Théotime Noël reprend l'enseigne qui deviendra plus tard "Les Vêtements Noël".
Boulangerie Lambert : Le 23, faubourg Saint-Vincent abrite une boulangerie depuis 150 ans. La Boulangerie et Pâtisserie de Monsieur Lambert, quant à elle, s'installera à cette adresse vers 1900.
Cafés Edouard Niaf : Edouard Niaf plante son commerce de vente de cafés, eaux-de-vie et vinaigre vers 1900 au 54, faubourg Bannier à Orléans. Il possède également un deuxième magasin rue Antigna.
Caoutchouc Chaussard : Le magasin de caoutchouc Chaussard était installé au 14, rue de la République à Orléans dès 1900.
Chapellerie Dézéraud : En 1900, la Chapellerie Dézéraud Aîné s'installe au 10, Cloître Saint-Aignan à Orléans. Cette importante fabrique de chapellerie, si l'on en juge par l'armée de représentants motorisés qui posent devant la porte, sera en activité jusqu'en 1960 (sous l'enseigne "Gabriel").
Fabrique de chocolat Coignet : C'est vers 1900 que M. Coignet installe sa chocolaterie et confiserie au 5, rue Charles Sanglier. On y fabrique aussi des dragées, des gommes, des bonbons, des pâtes d'amandes imitant la forme de fruits, légumes et charcuteries.
Conserves André Loison : La conserverie et confiturerie André Loison s'installe à Orléans, vers 1900 au 69, boulevard Alexandre Martin.
A la Belle Fermière : A la Belle Fermière, maison Cassegrain, on est spécialisé dans les draperies, toiles, lingerie, couvertures et tapis depuis les années 1900. La boutique était installée au 21, rue Royale à Orléans.
Epicerie Parisienne : L'Epicerie Cassegrain, spécialisée dans les douceurs (Confiseries, desserts, dragées...) était installée en 1900 à l'angle de la rue de Bourgogne et de la rue Ducerceau. Rapidement, elle prendra le nom d'Epicerie Parisienne (Louis Garriau), une appellation plus chic et plus vendeuse. Le bâtiment, comme beaucoup d'autres du quartier, sera détruit par les bombardements d'Orléans en 1940. Reconstruit dans un style plus moderne après la guerre, il sera occupé par les actuelles Galeries Lafayettes.
Mercerie Girard : Le magasin Girard ouvre ses porte vers 1900 au 3, rue Bannier à Orléans. On y trouve de la dentelle, du tulle, des gants, des chapeaux et des tissus.
Quincaillerie Forest : La quincaillerie de Victor Forest démarre son activité vers 1900 au 52, rue Porte-Saint-Jean à Orléans. On y vend aussi des articles de ménage, du chauffage et de l'éclairage.
Restaurant des frères Ferrer : En ville, à Orléans, en ce début de 20ème siècle, de grands restaurants s'adressent à une clientèle plus aisée. Le restaurant des frères Ferrer, 13, rue de la vieille Poterie (cette rue, proche du sud Martroi, n'existe plus) est de ceux-là. Inspiré du grand restaurant Chartier (le Bouillon) lancé en 1896, Faubourg Montmartre à Paris, le restaurant offre un confort moderne à ses clients. Il changera plusieurs fois d'enseigne : Restaurant Ferrer, Nouveau restaurant de Madrid, Grand restaurant du Centre. A noter, que la rue de la Vieille Poterie sera totalement détruite par les bombardements de 1940.
Tissus Maurice Michel : Le magasin Maurice Michel ouvre ses porte vers 1900 au 86, rue des Carmes à Orléans. On y trouve des fourrures, des mouchoirs, des tricots fantaisies, des rubans et velours.
Tonnellerie Godin : M. Godin vendait ses articles de tonnellerie au 29, rue Sainte-Catherine à Orléans dès 1900.