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Rue Parisie : Elle doit son nom à la porte Nord de l'enceinte de la ville, qui elle-même tirait son nom de "chemin vers Paris " : Parisie. La rue sera nommée rue Parisie en 1875.
Rue des Grands-Champs : La rue prendra son nom définitif vers 1875. Autrefois nommée rue de la Grange-au-Diable : Dans cette rue se tenait une vaste grange appartenant au chapitre de Sainte-Croix. Pendant le siège de 1428, capturant cette grange, les Anglais (encore eux...) décidèrent de battre le blé afin d'en récupérer le grain. Mais toutes les nuits, les grains de blé venaient se "raccrocher" à leurs gerbes respectives... Le diable était-il intervenu ?
Rue des Turcies : La rue porte ce nom depuis 1875. Le nom Turcies, vient du latin 'turgere" et qui signifie turgescence, élévation, enflé. Les turcies ou levées sont des digues de terre. La rue reste célèbre pour ses inondations lors des crues de Loire des siècles précédents.
Rue du Cheval-Rouge : Anciennement rue de la Vieille Foulerie de par la présence de bonnetiers et fabricants de bas de laine. La rue deviendra rue du Cheval-Rouge vers 1875, du nom de l'Hôtel du Cheval Rouge. La rue était traversée par ce petit ruisseau, qui n'existe plus et qui descendait du Martroi à la Loire : La Barre-Flambert.
Rue du Grenier-à-Sel : La rue tire son nom (depuis 1875) de la présence d'un ancien grenier à sel installé en 1548 sous le règne de Henri II. Deux autres greniers à sel existaient en 1690 : L'un à la Tour Neuve, l'autre porte Bannier. Auparavant, le sel était stocké dans un des caveaux de l'Hôtel de ville.
Le Quartier Dunois (Rue Eugène Vignat) : Il est construit à la fin du 19ème siècle, entre 1874 et 1875 et abritera : Le 30e régiment d’artillerie, le 13e régiment de dragons, le 2e régiment de hussards. Il deviendra le lycée Pothier en 1962.
Adolphe Crespin : est né en 1807 à Orléans et décédé en juin 1875 à Orléans. Adolphe Crespin sera maire d'Orléans de 1870 à 1871. Avoué, puis avocat à Orléans, il sera maire durant la guerre franco-allemande de 1870. Durant cette période, il sera confronté aux exigences de l'ennemi et sa ténacité marquera les esprits. Il est élu député et représente le département du Loiret de 1871 à 1875, siégeant à gauche chez les républicains conservateurs. Il est conseiller général du canton d'Orléans-Ouest en 1871.
Alexis Germon, maire d'Orléans : Durée du mandat : 1875 - 1878. Nommé juge au tribunal de commerce, il devient en 1867 président de la chambre de commerce d'Orléans. En 1875, élu maire à la suite de Léopold Fresnais de Levin, il devient membre d'honneur de l'Académie de médecine et président du Bureau de bienfaisance d'Orléans. Il fait ériger une statue en l'honneur de Robert-Joseph Pothier, éminent jurisconsulte d'Orléans. Confronté aux terribles dégâts de la crue de la Loire de 1866, Alexis Germon réclame le réaménagement de la Loire et des crédits pour améliorer l'état des canaux d'Orléans et du Loing.
Le Casino : Le casino d'Orléans ouvrira ses portes le 29 mai 1875 au 37, rue de la gare (actuelle avenue de Paris) et se présente sous la forme d'un immense châlet en bois. En 1911, il est détruit et reconstruit pour en faire une salle de concerts (Apollo-Concert puis le Kursaal en 1914). La guerre intervient et l'établissement ne rouvrira ses portes qu'en 1918 (Américan Palace puis l'Appolo-Théâtre en 1922). On y donne des spectacles, des revues, des opérettes et des vaudevilles. On pourra alors y voir Tino Rossi, Marie Dubas ou encore Jean Lumière. Le succès est au rendez-vous, mais en 1938, il se transforme en cinéma : L'ABC, bien connu des Orléanais. La salle sera détruite en 1981, laissant place à un immeuble.
Vêtements Georges :Le magasin de mode de Madame Mitraud, s'installe au 11, rue Jeanne d'Arc à Orléans vers 1875.