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L'église Notre-Dame-de-Recouvrance : L'église est construite entre 1513 et 1519. Durant les guerres de religion, le bâtiment, comme d'autres églises de la ville, est incendié par les protestants (huguenots) en 1562 et 1567. Les charpentes seront détruites, mais l'édifice sera rapidement reconstruit.
L'église Saint-Marceau : En 1567, les huguenots dévastent l'église qui sera à nouveau restaurée.
L'église Saint-Pierre du Martroi : En 1567, elle est à nouveau détruite (incendiée) durant les guerres des religions et l'occupation de la ville par les protestants.
Notre Dame-de-Bonne-Nouvelle (Rue de Bourgogne (actuelle préfecture): 1567 - Les Huguenots dévastent l'église.
Le capitaine Caban était commandant du Roi. En 1567, il affronta les cavaliers du Prince de Condé venus s'emparer de la ville. Après une charge des cavaliers place du Martroi, le capitaine se replia dans la citadelle de la porte Bannier. Un dernier combat sans succès eu lieu à proximité, dans une rue qui porte aujourd'hui son nom.
Eglise Sainte-Catherine (Place Louis XI) : 1567 - L'église est détruite par les Huguenots puis reconstruite.
Eglise Saint-Eloi (8 - 10 - Rue Saint-Eloi) : L'église sera démolie une première fois en 1567 par les Huguenots. Elle sera reconstruite à la fin du 16ème siècle.
Eglise Saint-Maclou (Place de la République) : 1567 - L'église est démolie par les Huguenots puis reconstruite.
Eglise Saint-Pierre-Lentin (Rue Saint-Pierre Lentin) : 1567 - L'église est détruite par les Huguenots, puis reconstruite.
Eglise Saint-Victor (2, rue des Pensées) : 1567 - Dévastée par les Huguenots, puis restaurée.
Eglise Saint-Michel ( Rue de Bourgogne) : 1567 - Destruction par les Huguenots puis reconstruction.
L'église de Saint-Chéron (Rue de la Bretonnerie - Rue des Récollets.) : 1567 - Les Huguenots transforment les lieux en arsenal.
L'église Saint-Samson (Rue Jeanne d'Arc) : 1567 - L'église est détruite par les Huguenots, puis réédifiée.
L'église Saint-Martin-de-l'Alleu (construite vers 956, date de disparition inconnue). Sise au 10, de la rue Jeanne d'Arc, elle est dévastée par les Huguenots en 1567, puis réédifiée.
L'Hospice des aveugles ou Saint-Mathurin. En 1259, Saint-Louis, de passage à Orléans, fait construire au nord de l'enceinte (59, rue Bannier) une église dédiée à saint Mathurin, avec un hospice réservé aux pauvres aveugles. Détruit lors du siège d'Orléans en 1428, puis rebâti, Saint-Mathurin est réuni administrativement à l'Aumône générale d'Orléans en 1560. La chapelle, ruinée par les Huguenots en 1567, est réédifiée par la suite.
Les Jacobins. Les Jacobins (nom donné aux Dominicains dont la maison-mère était située rue Saint-Jacques à Paris) sont venus à Orléans en 1218 ou 1219. A ce moment, l'évêque Philippe de Jouy leur donna l'église Saint-Germain-des-Fossés située au nord des fortifications. On installa chez eux les Ecoles de Théologie et de Droit jusqu'en 1337. Durant les guerres anglaises, le couvent fut détruit par les Orléanais en 1358, rétabli en 1389 et démoli de nouveau en 1428. Reconstruit peu après, il fut ruiné, en 1562 et 1567, par les Huguenots. Jacques Alleaume, bourgeois d'Orléans le fit rebâtir en 1575. Dans l'église des Jacobins se trouvait la chapelle de Notre-Dame de Pitié, fondée en 1473, siège de la confrérie des Marchands fréquentant la rivière de Loire. Avec la Révolution, les Jacobins quittèrent Orléans en 1791. Devenu bien national, le couvent acheté par la ville d'Orléans fut transformé en caserne (Caserne Duportail). Les bâtiments, cédés par l'Etat à la ville d'Orléans en 1912, disparurent, ainsi que la chapelle, en 1927 pour faire place au quartier appelé alors Les Champs-Elysées.
Une poignée de cavaliers s'emparent d'Orléans : 28 septembre 1567, 4 heures du matin, la ville est endormie. François de La Nouë, dit Bras de fer, seigneur de La Noue-Briord, de La Roche-Bernard, de Montreuil-Bonnin, du Loroux-Bottereau, de La Verrière et de La Boissière-du-Doré a décidé de s’emparer d’Orléans qui tient tête aux protestants. A la tête d’une troupe de cavaliers (entre 15 et 50 selon les versions), il pénètre dans la ville. Les catholiques se défendent et se replient sur la place du Martroi. La charge des cavaliers sera violente, plusieurs hommes du guet de la ville perdent la vie et les Orléanais se réfugient dans la forteresse de la porte Bannier. Le capitaine Caban (une rue porte son nom), présent dans la citadelle, tente une contrattaque qui restera sans succès. Au petit matin, la citadelle est prise et les protestants sont maîtres de la place. Voir le dossier complet.
Les Récollets, anciennement les Cordeliers. Les Cordeliers ou frères mineurs, vinrent Orléans vers l'an 1240. Ils s’installèrent dans la chapelle Saint-Chéron à l’angle de la rue de la Bretonnerie et de la rue des Récollets. Là ils construisirent le couvent, démoli par les Orléanais, lors du siège 1428. Il fut réédifié en 1456. En 1567, l'église est de nouveau détruite par les Huguenots qui transformèrent le couvent en arsenal. En 1611, les Cordeliers étai tombés dans un tel relâchement que les Récollets, en vertu des Lettres patentes qu'ils avaient obtenues auparavant du roi Henri IV, prirent possession du monastère de ces religieux. En 1636, grâce au duc d'Orléans, l'église et le couvent étaient reconstruits. En 1727, une nouvelle église fut bâtie. Avec la Révolution, les bâtiments furent vendus en 1792 ; une manufacture de draps s'y installa en 1811. Le tout disparut par la suite. Sur l'emplacement des Récollets on édifia au début 19ème siècle les hôtels des 1, bis et 3, de la rue de Bretonnerie.